âge ;; 41 ans date de naissance ;; écrire ici lieu de naissance ;; Londres, Angleterre origines ;; britaniques état civil ;; écrire ici orientation sexuelle ;; écrire ici profession ;; Assisant big boss, autrement dit il fait tout ce que le boss ne veut pas faire négociable ;; niop! le duo Downey/Law est juste trop épique *.*


— à son propos
Décidé, intransigeant lorsqu’il le faut, coulant au bon moment, James était tout destiné au management. Le défi de régler des choses différentes chaque jour, se battre avec le temps qui presse, ça le nourrit d’une motivation constante qui le pousse à se lever tous les matins pour éteindre de nouveaux feux. Si on lui avait toutefois dit qu’un boulot d’assistant lui donnerait les clés de la présidence il ne l’aurait jamais cru. Pourtant, celui qui gère en vérité, c’est bien lui!
Un patron allergique aux paperasses qui passe son temps à suivre ses lubies de multimilliardaire çà et là en faisant fi des questions épineuses du jour, ça pousse à l’indépendance. Et puis, si ça ne plait pas à Alexander qu’il contrefasse sa signature, il n’avait qu’à ne pas rechigner et signer lui-même! Au début désarçonné, James mentirait s’il disait qu’il n’y avait pas pris goût. Ce nouveau pouvoir qu’il goûta au service d’Huntington et qu’il n’avait jamais connu dans ses anciens boulots était assez plaisant. Il faut dire qu’entre rappeler ses rendez-vous à un PDG et parler au nom du patron, il y a une différence dans l’estime de soi! Si l’idée même du parc vient d’Alexander, James éprouve tout de même la fierté de se savoir pierre angulaire de son bon fonctionnement et de sa grande popularité. Chaque problème a sa solution et James connait tous les employés sur les doigts de la main, il sait, à chaque fois, qui aller voir et pour quoi. Pour que chaque fasse son travail et que tout se lie à la perfection, ça prend un entremetteur. Eh bien, James est cet entremetteur pour Under the Sea.


— relations connues

Alexander Huntington III Le grand patron qui l’a débauché lui-même du grand cabinet d’avocats où il était assistant du principal associé. S’il donne du fil à retorde à James avec toutes ses idées farfelues, il va sans dire que l’homme est ambitieux et visionnaire qui n’a pas peur de se planter et notre homme aime ça. Au départ simple assistant, maintenant James est carrément le boss intérimaire, filtrant à peu près tout ce qui normalement devrait se retrouver entre les mains du patron. Un patron devenu peu à peu un ami, un ami dont il faut botter les fesses pour qu’il agisse en patron, mais un ami malgré tout et presque même un frère selon les situations.

Mia Huntington La fille du patron qui est un peu devenu la nièce qu’il n’a pas. Souvent arbitre entre le père et la fille, son côté raisonnable arrive souvent à éteindre le feu avant même qu’il prenne aux poudres. Fier de ce que la jeune femme est en train de devenir, il aime à penser qu’il en est au moins partiellement responsable. Et puis, lorsque Mia a besoin de parler et que son père n’est pas une option, la porte de James est toujours ouverte.

Tucker Jenkins James savait déjà que Tucker ferait un directeur sur lequel il n’avait rien à redire. S’il l’aurait davantage vu à la direction du secteur recherches et développements, c’est le côté visionnaire d’Alexander qu’il n’a pas qui a fait en sorte d’essayer le biologiste plutôt dans le secteur animalier. S’il n’a qu’une chose à lui reprocher, c’est de manquer d’objectivité lorsqu’il est question de l’une des dernières bévues de son beau-frère, Jacob Sanders.

Nicolas Hawkins James n’était vraiment pas convaincu par ce vétérinaire. Il avait perdu une orque en train d’accoucher, cela avait coûté quatre millions au SeaWorld qui l’avait licencié, mais Alexander n’avait que ce mot en tête, SeaWorld, son démoniaque concurrent. Difficile, hélas, de retirer une obsession au grand patron et celui-ci voulait à tout prix rafler l’ex employé de son principal adversaire, le faire reconnaitre mondialement dans sa profession et avoir le privilège de tirer la langue à SeaWorld. Stupidité immature? Oui, mais il l’embaucha tout de même et si James est toujours un poil méfiant et réticent, il faut bien admettre que pour le moment il n’a rien à reprocher à Nicolas.